Dans la nuit du 14 au 15 avril 2014, la secte islamiste Boko Haram, pendant une de ses opérations, enlevait 276 lycéennes au Nigéria. « Les filles de Chibok » est le nom qui avait été donné à cette énième infamie des djihadistes. Le monde entier était choqué, d’autant plus que les victimes étaient des femmes à qui on empêchait de se doter d’outils pour leur émancipation ! Si jusqu’à nos jours cette affaire n’est pas totalement élucidée, force est de constater que son nom n’a plus quitté nos pensées. Est-ce dans une optique qui viserait à faire rentrer un peu plus cette tragédie dans la mémoire collective que l’auteur camerounais Joseph Pierre ABAH nous offre aujourd’hui « La fille de Chibok et le royaume maudit » ? Avec un tel titre, en effet, comment ne pas le croire, bien qu’il soit ...
Lire la suitewebtrotter
Amoureux des médias et de la culture. En chemin pour permettre une meilleure éducation aux médias et à la culture.
https://www.webtrotter.netDifficile de comprendre comment de belles âmes, si petites, sans protection peuvent se retrouver dans la jungle urbaine d’une ville telle que Yaoundé. Il faisait froid, très froid cette nuit-là. Une amie et moi avons décidé de faire les cent pas du côté de l’hôtel de ville de Yaoundé pour profiter de la tranquillité de l’esplanade. Sur le chemin, nous nous sommes arrêtés à cette grande boulangerie qui est près de l’ancien manège pour prendre des fruits et de quoi manger. Après notre balade nocturne sur le chemin du retour, croquant dans les dernières pommes dans notre sac, nous avons entendu des bruits devant un magasin. En nous retournant, on ne voit rien, le vigile pas très loin n’a pas sourcillé. En regardant de plus près, je vois deux pieds qui ont de la peine à rentrer dans...
Lire la suite